« Aujourd’hui mamanMeursault est mort. Ou peut-être hier, je ne sais pas. »

Marie est la seule étudiante présente au cours d’un professeur passionné mais très conventionnel. Elle confronte son regard de jeune femme contemporaine au chef d’œuvre de Camus.
Ils partent alors ensemble dans une véritable enquête littéraire, un voyage entre fiction et réalité, ouvrant ainsi des visions inexplorées d’un roman qui ne cesse de nous questionner.

Une ode à la découverte, à la transmission, et à la quête de vérité…

LA PRESSE EN PARLE

Jean-Pierre Leonardini – L’Humanité : Si Camus n’est pas pris au pied de la lettre, son esprit demeure, dans un geste éperdu de reconnaissance.

Agnès Santi – La Terrasse : Une libre réinvention qui célèbre la puissance de l’imaginaire, de la transmission.

Nicolas Arnstam – Froggy’s Delight : Jean-Baptiste Barbuscia propose une pièce brillante et pertinente, respectueuse de l’oeuvre originale et qui dit l’importance du lien entre les êtres.

Marie-Céline Nivière – L’oeil d’olivier : Jean-Baptiste Barbuscia possède un univers visuel très imagé et un sens de l’occupation de l’espace très vivant.

Fabien Bonnieux – La Provence : Inventifs, complices et habités, Marion Bajot et Fabrice Lebert mettent la barre très haut.

David Rofé-Sarfati – L’Autre Scène : Il y a dans cette pièce quelque chose de profondément camusien : la lucidité sans désespoir, le refus du mensonge confortable, et ce désir de transmettre. On sort de L’Étrangère avec le sentiment que l’on peut encore poser des questions, toujours. C’est peut-être cela, être vivant.

Claudine Arrazat – critiquetheatreclau.com : Dans cette réécriture, l’enquête est menée avec dynamisme et passion. La mise en scène est vivante et magnifiquement orchestrée.

Laurent Schteiner – Sur les planches : Saluons enfin les interprétations de Marion Bajot et Fabrice Lebert qui ont su nous guider avec brio dans les entrelacs de cette intrigue.

Michèle Perin – Echo du Mardi : En sortant du spectacle ‘L’Étrangère’ : Vous aurez au choix : l’envie de lire ou de relire L’Étranger de Camus, de retrouver au fond de votre mémoire le nom d’un professeur ou de toute rencontre qui a contribué à ce que vous êtes aujourd’hui.

Dephine Michelangeli – Charabiart : L’Étrangère rend hommage aux profs déclencheurs d epassion, aux femmes invisibilisées et à la plume, unique, de Camus…

Michel Flandrin – Les sorties de Michel Flandrin : Dans L’Étrangère se rejoue, se dissèque L’Étranger. Se dessine encore un éloge de la transmission qui, au-delà du savoir, éveille la curiosité et stimule l’intelligence.

Danielle Dufour-Verna – Sortir ici et ailleurs : Une adaptation et une mise en scène magistrales signées Jean-Baptiste Barbuscia.