« Aujourd’hui mamanMeursault est mort. Ou peut-être hier, je ne sais pas. »

Une ode à la découverte, à la transmission, et à la quête de vérité.

Marie est la seule étudiante présente au cours d’un professeur passionné mais conventionnel.
Elle confronte son regard de jeune femme contemporaine au chef d’œuvre de Camus. Ils partent alors ensemble dans une véritable enquête littéraire, un voyage entre fiction et réalité, ouvrant ainsi des visions inexplorées d’un roman qui ne cesse de nous questionner…

En prenant la forme d’une passionnante enquête littéraire, presque d’une fouille archéologique, L’Étrangère s’immisce dans les profondeurs d’un des plus célèbres romans.
En se basant sur les éléments de l’Étranger d’Albert CAMUS, les deux protagonistes de la pièce mêlent les mots de Camus avec l’imagination d’une jeune femme du 21ème siècle.
En plaçant le personnage féminin Marie Cardona au centre de la grande histoire de l’Étranger, une étudiante et son professeur questionnent notre rapport aux chefs-d’œuvre et pourquoi ces textes continuent de traverser les époques.

LA PRESSE EN PARLE

COUP DE COEUR TELERAMA
De passionnantes frictions qui donnent à voir « L’Étranger » sous un autre jour.
Kilian Orain – Télérama

Si Camus n’est pas pris au pied de la lettre, son esprit demeure, dans un geste éperdu de reconnaissance.
Jean-Pierre Leonardini – L’humanité

Une libre réinvention qui célèbre la puissance de l’imaginaire, de la transmission.
Agnès Santi – La Terrasse

Jean-Baptiste Barbuscia propose une pièce brillante et pertinente, respectueuse de l’oeuvre originale et qui dit l’importance du lien entre les êtres.
Nicolas Arnstam – Froggy’s Delight

Jean-Baptiste Barbuscia possède un univers visuel très imagé et un sens de l’occupation de l’espace très vivant.
Marie-Céline Nivière – L’oeil d’olivier

Inventifs, complices et habités, Marion Bajot et Fabrice Lebert mettent la barre très haut.
Fabien Bonnieux – La Provence

Une intrigue passionnante, bien menée, drôle et percutante.
Bruno Fougniès – La Revue du spectacle

Il y a dans cette pièce quelque chose de profondément camusien : la lucidité sans désespoir, le refus du mensonge confortable, et ce désir de transmettre. On sort de L’Étrangère avec le sentiment que l’on peut encore poser des questions, toujours. C’est peut-être cela, être vivant.
David Rofé-Sarfati – L’Autre Scène

Dans cette réécriture, l’enquête est menée avec dynamisme et passion. La mise en scène est vivante et magnifiquement orchestrée.
Claudine Arrazat – critiquetheatreclau.com

Saluons enfin les interprétations de Marion Bajot et Fabrice Lebert qui ont su nous guider avec brio dans les entrelacs de cette intrigue.
Laurent Schteiner – Sur les planches

En sortant du spectacle ‘L’Étrangère’ : Vous aurez au choix : l’envie de lire ou de relire L’Étranger de Camus, de retrouver au fond de votre mémoire le nom d’un professeur ou de toute rencontre qui a contribué à ce que vous êtes aujourd’hui.
Michèle Perin – Echo du Mardi

L’Étrangère rend hommage aux profs déclencheurs de passion, aux femmes invisibilisées et à la plume, unique, de Camus…
Dephine Michelangeli – Charabiart

Dans L’Étrangère se rejoue, se dissèque L’Étranger. Se dessine encore un éloge de la transmission qui, au-delà du savoir, éveille la curiosité et stimule l’intelligence.
Michel Flandrin – Les sorties de Michel Flandrin

Une adaptation et une mise en scène magistrales signées Jean-Baptiste Barbuscia.
Danielle Dufour-Verna – Sortir ici et ailleurs